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Élection présidentielle, Macron réélu !

Pour nous qui défendons la langue française, la francophonie et qui luttons contre la politique du tout-anglais, la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République française n'est pas une bonne nouvelle.

Comme nous l'avons déjà dit, notre association est apolitique dans le sens où elle n'est affiliée à aucun parti politique, ce qui fait que tout parti politique qui va vers les objectifs qui font l'objet social de notre association, a notre soutien.

Dans l'élection qui vient de se passer,

- les candidats qui répondaient plus ou moins à nos critères, étaient (par ordre décroissant) ; Éric Zemmour, Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Luc Mélenchon, Jean Lassalle. 

- les candidats que nous rejetions pour leur anglolâtrie, étaient : Emmanuel Macron (entre autres éléments, 7 procès en cours contre ses ministres pour anglomanie), Valérie Pécresse (entre autres éléments, actrice du Made For Sharing, s'est exprimée en anglais au CIO, Carpette anglaise en 2008, dépositaire de la marque "Navigo Easy"), Anne Hidalgo (entre autres éléments, actrice du Made For Sharing, s'est exprimée en anglais au CIO, adepte de l'écriture inclusive - procès en cours), Yannick Jadot (entre autres éléments, adepte de la diversité, mais silencieux, voire hostile à la défense de la diversité linguistique et culturelle, partisan des "green" à toutes les sauces et autre "new deal", en tant que député européen ne s'est jamais insurgé contre l'hégémonie de l'anglais aux seins des instances de l'UE) 

- les candidats qui nous ont semblé ni anglolâtres ni franchement tournés vers la langue française, la francophonie et la lutte contre le tout-anglais, étaient : Fabien Roussel, Nathalie Arthaud, Philippe Poutou

 

Appel au calme et à la réflexion !

Par Mathieu Lavarenne

Le déferlement d'éloges et d'autosatisfaction chez les proches de Macron et sur les plateaux TV ("c'est une large victoire", "le président le mieux élu", "soirée de fête", cela vaut "reconnaissance que la politique menée était la bonne"), avec des ministres qui dansent sur le champ de Mars, est totalement indécent !

Une mise au point factuelle devrait pourtant calmer les ardeurs excessives. Je sais bien que l'essentiel est dans l'image, mais attention au retour de manivelle.

Cette élection est en effet marquée par :

* un niveau record d'abstention : 28%, le pire taux au second tour de la présidentielle de toute la 5ème République depuis les 31% de 1969 ; avec 1,5 million d'abstentionnistes en plus que 2017 !

* un important vote blanc et nul : 8,6% des votants, 2ème place depuis 1965, juste après le sommet à 11,5% du premier duel Macron Le Pen en 2017 !

* seulement 38,5% des inscrits se sont exprimés en faveur de Macron, pire score présidentiel depuis Pompidou en 1969 !

* un sondage indique d'ailleurs que pour la moitié d'entre eux, les bulletins Macron ont été mis dans les urnes en mode "castor" pour "faire barrage" à Marine, parfois du bout des doigts ou une pince à linge sur le nez, ce qui revient au ratio du premier tour où un électeur sur 5 seulement a réellement voté pour le bilan ou le programme de Macron ! Question légitimité, on fait mieux. L'impression pour certains de s'être fait cocufier pourrait nuire à la suite des événements.

* un fossé grandissant entre les zones rurales et urbaines, mais aussi entre les déclassés d'une part et ceux qui surnagent dans l'océan mondialisé.

* une dynamique négative pour Macron avec la montée des positions extrêmes et protestataires (presque 3 millions de voix en plus pour Le Pen par rapport à 2017 alors que le candidat LReM annonçait alors qu'il ferait baisser le FN, et 2 millions de voix en moins pour Macron) !

* 17 points d'écart, ce serait "beaucoup", comme se félicitent Blanquer ou encore Bayrou, bras dessus bras dessous avec Manuel Valls : faut-il leur rappeler qu'il y avait 30 points d'écart en 2017 et 64 points d'écart en 2002 dans le premier duel de second tour avec Le Pen père ? En 2002, Le Pen, c'était 18% ; en 2017, c'était 34% ; en 2022, c'est 42%.

* Macron dit en grand seigneur qu'il va faire son possible pour écouter les Français qui ne l'ont pas soutenu... en fait, derrière la rodomontade de façade, il n'a pas vraiment le choix ! Du moins en apparence. Pour les actes, il faudra juger sur pièce.

* Il en va aussi de même pour les 27,3% des inscrits en faveur Le Pen, dont un électeur sur deux annonce avoir voulu avant tout faire barrage à Macron (c'est la bataille des castors). La grille d'analyse de la France raciste et rabougrie n'est donc pas très pertinente, surtout au regard des scores de Le Pen en Guadeloupe (70%), en Martinique et en Guyane (60%), alors que ces territoires avaient largement mis Mélenchon en tête à plus de 50% au premier tour. En rester à ce niveau de compréhension, ce serait ne rien comprendre ni à l'histoire ni surtout à l'actualité : il y a moins de 6 mois, avec un très faible écho médiatique en métropole, Macron envoyait aux Antilles le RAID et le GIGN pour répondre aux manifestations anti-passeport sanitaire numérique. La répression y a été féroce, y compris sur le plan judiciaire.

Vu tous ces éléments, un peu plus d'humilité ne ferait pas de mal. Sinon, vous allez encore vous étonner d'être considérés comme des arrogants...

Mathieu Lavarenne

https://www.facebook.com/mathieu.lavarenne

 

Les 7 procès en cours contre des ministres anglomanes de Macron

Ce n'est pas de gaieté de cœur que nous faisons des procès contre des membres de l'État français, des ministres, de surcroit, qui devraient donner l'exemple du respect et du bon emploi de la langue française, mais qui pourtant défendent bec et ongles leur anglomanie.

Nous constatons au fils de nos procès que l'élément central que ces messieurs et dames font valoir auprès des juges pour justifier leur anglolâtrie est de dire que les marques à connotation anglaise qu'ils utilisent étant à vocation internationale, il va de soi qu’elles soient en anglais.

Ils sont tellement anglicisés qu'ils ne se rendent même pas compte de leur capitulation, une capitulation plus digne d’un gouvernement de soumission et de collaboration que d’un gouvernement de la FRANCE LIBRE au sens gaullien du terme, où la Résistance et la capacité de dire NON avaient fait dire au Général De Gaulle que « La France ne peut être la France sans la grandeur. ».

Le Général Charles De Gaulle et la servilité à l'anglais des Français« Le Général de Gaulle et la langue française » 

Et ce n’est pas participer à la grandeur de la France en abandonnant sa langue au profit de la langue hégémonique et impérialiste du moment, c’est bas, c’est petit et c’est indigne de la pensée gaullienne, c’est-à-dire de la France Libre, celle pour qui « la France sans sa langue, ce n’est plus la France ».

 

- Procès contre les marques « La French Tech » et « Next 40 » du Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance :

Les marques illégales French-Tech et Next-40

Recours gracieux - Requête - Mémoire en réplique de l'Afrav - Mémoire en réponse au mémoire en défense n°2 du Ministère - Le Ministère demande un règlement amiable de l'affaire  - Réponse de l'Afrav - ordonnance de réouverture de l'instruction  - Mémoire en défense n°3 du Ministère - Mémoire en réponse n°3 de l'Afrav (en préparation)

 

- Procès contre la marque « Choose France » du Premier ministre :

La marque illégale Choose-France.

Recours gracieux - Requête - Mémoire en réplique de l'Afrav -  Le Ministère demande un règlement amiable de l'affaire  - Réponse de l'Afrav  

 

- Procès contre l'Arrêté du 6 décembre 2019, contre l'Arrêté du 3 avril 2020 et contre le Décret du 3 avril 2020 instituant l'obligation de passer une certification en langue anglaise pour l'obtention de toute licence professionnelle, de tout DUT (diplôme universitaire technique), de tout BTS (Brevet de technicien supérieur).

Frédérique Vidal, la ministre qui a inscrit dans la loi l'anglais-obligatoire

Procès au Conseil d'État en cours par le biais d'un Collectif d'associations et de syndicats dont l'Afrav fait partie : ACEDLE, ADEAF, AFEA, AFLA, AFRAV, AGES, APLIUT, ARDAA, FNAEL, GERAS, GERES, OEP, RANACLES, SAES, SIES - affaire en cours -

 

- Procès contre la marque la marque « Health Data Hub » de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, la DREES (Ministère de la Santé) : 

La marque illégale Health Data Hub, ministère de la Santé

Recours gracieux - Requête - ordonnance de réouverture de l'instruction 

 

- Procès contre la marque « French Impact » de la Ministre de la Transition écologique et solidaire :

La marque French-Impact du ministère de la Transition écologique

Recours gracieux - Requête - Ordonnance de réouverture d'instruction -  Le Ministère demande un règlement amiable de l'affaire  - Réponse de l'Afrav 

 

- Procès contre le Ministère de l'Intérieur concernant la nouvelle carte nationale d'identité bilingue français-anglais :

Carte d'identité nationale des Français

Recours gracieux - requête - affaire transférée au Conseil d'État.

Requête aux fins de référé-suspension - mémoire en défense du Ministère - ordonnance du juge des référés - référé-suspension perdu par l'Afrav, mais affaire transmise au Conseil d'État par le président du Tribunal administratif de Paris pour jugement sur le fond - Puisque, pour aller devant le Conseil d'État,  il est obligatoire d'être assisté d'un avocat, nous faisons alors une demande d'aide juridictionnelle - aide juridictionnelle refusée - Puisque l'aide juridictionnelle nous a été refusée, nous payerons donc un avocat pour que cette affaire soit jugée devant le Conseil d'État.

 

- Procès contre le site en bilngue français-anglais du ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance :

Site en bilingue illégal du ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance.

Recours gracieux - Requête -

 

Lettre au ministre de la Justice qui ne nous a jamais répondu !

De :  Régis Ravat, Président de l'Afrav

Objet : classement sans suite de nos plaintes par les Procureurs de la République et jugement du Procureur général près la Cour d’Appel de Versailles.

Destinataire :  Ministère de la Justice - À l’attention de Monsieur le Ministre, M. Éric Dupond-Moretti - 13 place Vendôme - 75042 PARIS Cedex 01

Lettre envoyée, le lundi 24 août 2020

Monsieur le Ministre,

Je me permets de vous adresser cette lettre, car je voudrais vous signaler que l’association que j’ai l’honneur de présider, rencontre de grosses difficultés à faire appliquer la loi relative à l’emploi de la langue française en France (Loi Toubon, loi n°94-665 du 4 août 1994).

En effet, chaque fois que nous portons plainte auprès d’un procureur de la République à l’appui de cette loi, celui-ci classe systématiquement sans suite notre plainte, alors que pourtant, manifestement, la loi n’est pas respectée. Ce faisant, nous ne comprenons pas pourquoi la loi Toubon est si difficile à faire appliquer, alors qu’au Québec, pour prendre un exemple, la loi 101 sur le français, loi bien plus coercitive que la loi française, n’est pas freinée dans son emploi par ceux qui, précisément, sont chargés de veiller à l'application des lois.

Pour être bref, nos plaintes visent les publicités dont le slogan en anglais est nettement plus lisible que sa traduction en français (voir au recto de cette feuille, les 2 exemples que nous donnons).

Cette façon de faire des publicitaires contrevient à l’article 4 de la loi Toubon qui dit en son paragraphe 2 que :

« Dans tous les cas où les mentions, annonces et inscriptions prévues aux articles 2 et 3 de la présente loi sont complétées d'une ou plusieurs traductions, la présentation en français doit être aussi lisible, audible ou intelligible que la présentation en langues étrangères. ».

Et le fait de ne pas respecter l’obligation donnée au paragraphe 2 de l’article 4 de loi n°94-665, est puni d’une peine d'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe - comme le dit le décret n°95-240 du 3 mars 1995 pris pour l'application de la loi n°94-665.

Donc, puisqu’une sanction pénale est prévue pour l’infraction que nous signalons, il est bien du ressort des Procureurs de la République d’intervenir.

Le problème, c’est que sur 14 plaintes déposées en 2018, toutes - lorsqu’on nous a répondu - ont été classées sans suite (une a cependant fait l’objet d’un rappel à la loi - https://www.francophonie-avenir.com/fr/L-anglomanie-traitee-sur-le-plan-juridique/295-PORTONS-PLAINTE-CONTRE-LES-ANGLOMANES-annee-2018).

En 2019, nos 20 plaintes déposées ont toutes - lorsqu’on nous a répondu -  fait l’objet également d’un classement sans suite (deux ont cependant fait l’objet d’un rappel à la loi - https://www.francophonie-avenir.com/fr/L-anglomanie-traitee-sur-le-plan-juridique/326-PORTONS-PLAINTE-CONTRE-LES-ANGLOMANES-annee-2019).

Bien évidemment, nous faisons appel de ces décisions de classement sans suite, auprès des procureurs généraux, mais rien n’a abouti jusqu’à maintenant.

Dernièrement, nous avons eu un problème avec le Procureur général de la Cour d’Appel de Versailles qui a semblé avoir survolé notre argumentation, une argumentation qui pouvait se résumer ainsi :

« Pourquoi ma plainte contre le groupe Renault serait-elle classée sans suite, sans même un avertissement, sans même un rappel à la loi, alors qu’il s’agit du même type d’infraction que celle commise par le groupe Heineken qui lui, pour ce type d’infraction, a eu un rappel à la loi ? »

Et de demander à Monsieur le Procureur général : « Comment se fait-il que la même cause ne produise pas le même effet ? »

Résultat : le procureur général n’a pas tenu compte de notre questionnement et a confirmé le classement sans suite de notre affaire !

Pour résumer l’objet de ma lettre :

- 1. Nous aimerions savoir pourquoi les Procureurs de la République ne donnent pas droit à nos plaintes, les classant systématiquement sans suite.

- 2. Nous aimerions savoir pourquoi le Procureur général de la Cour d’appel de Versailles a confirmé le classement sans suite de notre affaire (une publicité du groupe Renault), alors que pour une affaire similaire (une publicité du groupe Heineken), le groupe Heineken, a eu un rappel à la loi.

  En espérant ne pas avoir trop pris de votre temps précieux et en espérant que vous voudrez bien éclairer ma lanterne sur les points que j’évoque dans cette lettre, je vous prie d’agréer,  Monsieur le Ministre, l’expression de ma très haute considération.  

Régis Ravat, Président de l’A.FR.AV

Autres lettres sur le même sujet adressées au ministre Éric Dupond-Moretti :

- Lettre du 17 novembre 2020

- Lettre du 30 septembre 2021

Pas de réponse à ce jour !

 

Lettre au Haut-commissariat au Plan qui ne nous a jamais répondu !

De :  Régis Ravat, Président de l'Afrav

Objet : projet pour venir au SecOurS de la langue française et du plurilinguisme dans les revues scientifiques, par le développement et la vulgarisation de la traduction automatique.

Destinataire :  Haut-commissariat au Plan - M. François Bayrou, Haut-commissaire au Plan - 20 avenue de Ségur - 75007 PARIS

Lettre envoyée, le mercredi 6 janvier 2021

Monsieur le Haut-commissaire,

Nous nous réjouissons que le Président de la République ait remis à l’ordre du jour le Commissariat au Plan, car, bien évidemment, avoir une vision à long terme pour notre pays, c’est contribuer à mettre en place ce qui lui permettra de construire ses succès, sa prospérité et sa grandeur de demain.

Lors de votre intervention au Conseil économique, social et environnemental, le CESE, en septembre dernier, nous avons eu le plaisir de vous entendre parler de la langue française, et qu’il fallait en cela refuser son abaissement, en particulier dans les instances européennes et internationales. Vous avez parlé de combat à mener, un combat qui tient à notre avenir même.

Eh bien, Monsieur le Haut-commissaire, sachez que nous sommes partie prenante de ce combat puisque cela fait maintenant plus de trente ans que notre association existe et que nous menons à travers elle la défense de notre langue contre les anglomanes qui l’assaillent, contre ceux que le   regretté Michel Serres, académicien, philosophe et professeur d’université, appelait les Collabos de la pub et du fric.

Afin de lutter contre l’hégémonie de l’anglais tant en France, qu’en Europe et dans le monde - laquelle hégémonie peut être considérée désormais comme exerçant un véritable linguicide du français sur le sol où il est né -,  nous en sommes arrivés à penser que la meilleure solution serait de rendre l’anglais contournable, et pour y parvenir quoi de mieux que la traduction automatique vulgarisée et généralisée.

Un de nos adhérents, M. Nicolas Bacaër, chercheur en mathématiques et biologie à l’IRD (Institut de recherche pour le développement - https://www.ird.fr/), un adhérent franco-canadien du Canada anglophone, qui a fait ses études dans un lycée franco-allemand et qui a épousé une Chinoise, autrement dit un polyglotte, amoureux non seulement du français, mais des langues en général, a décidé de traduire en français, par le biais de la traduction automatique, des articles en anglais de scientifiques français publiés dans des revues scientifiques « françaises » (voir : http://www.ummisco.ird.fr/perso/bacaer/traductions/traductions.html).

Son idée est de traduire en français TOUT ce qui est subventionné par de l’argent public, en partant du principe que si c’est subventionné par l’argent des contribuables français, cela devrait accessible en français pour les Français, et plus généralement, pour les Francophones du monde entier.

Comme l’a constaté Nicolas Bacaër, la conscience linguistique parmi les scientifiques est désormais proche de zéro, c’est-à-dire que la plupart d’entre eux s’accommodent de l’interdiction de leur propre langue, de la généralisation universelle de l’anglais, et même ne trouvent rien à redire qu’on leur interdise d’enseigner dans leur propre langue, au sein même de leur propre université. Oui, Monsieur le Haut-commissaire, nous en sommes là !

Dans ces conditions, il serait stratégiquement judicieux de mettre en place un plan pour la reconquête de notre langue dans le milieu scientifique.

Ce plan devrait s’accorder avec le plan lancé par le Président de la République sur l’Intelligence artificielle. Il consistera aussi à répertorier les méthodes de traductions automatiques pour prendre les meilleures et pour travailler à leur amélioration. Il mettra en place des protocoles des tâches, il donnera un droit à la traduction en français et dans d’autres langues pour favoriser le plurilinguisme, etc.

M. Nicolas Bacaër publie désormais tous ses travaux en français en en donnant, grâce à la traduction automatique, une version en 10 langues.

Pourquoi ne pas généraliser cette façon de faire auprès de tous les scientifiques français ?

Si vous le jugez utile, M. Nicolas Bacaër serait très heureux et très honoré de vous présenter sa méthode de travail et les perspectives qu’il faudrait mettre en œuvre pour les optimiser. 

Dans l’attente, et en espérant que ce projet aura attiré votre attention, je vous prie d’agréer, Monsieur le Haut-commissaire, l’expression de ma très haute considération.

Régis Ravat, Président de l’A.FR.AV

 

 

 




Publié par Régis RAVAT le 25 avril 2022

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Orthographe, corrections : contact.sy@aliceadsl.fr

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