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Au sujet de l'anglais, Pécresse, puis Fioraso se sont trompées ou nous ont-elles trompés ?

On se rappelle que sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Valérie Pécresse, alors ministre de l'enseignement Supérieur, préparait une loi pour légaliser l'enseignement EN ANGLAIS dans nos universités et grandes écoles.

Cette dame, n'ayant pas eu le temps de faire passer sa loi (fin du mandat de Nicolas Sarkozy), c'est Géneviève Fioraso, alors ministre de l'enseignement Supérieur sous le présidence de François Hollande, qui a fini le travail en faisant voter cette loi qui, du coup, pris le nom de loi Fioraso.



Série de vidéos sur la langue française et sur la géolinguistique !

Dans ces vidéos, Charles-Xavier Durand, Universitaire, ancien directeur de l'Institut de la Francophonie pour l'informatique de Hanoï, professeur d'université et écrivain, nous explique que si l'anglais nous submerge aujourd'hui, cela n'est pas dû au hasard ni à la valeur intrinsèque de la langue, mais bien à une volonté politique, celle des Anglo-Saxons d'imposer partout leur langue.



Quand l’épreuve d’anglais ne devient plus éliminatoire !

Récemment, nous avons appris que le président du jury du concours de l’Institut National du Service Public, l'INSP, Jean-François Verdier, ne considérait pas comme nécessaire que tous les futurs fonctionnaires parlent couramment anglais dès leur entrée en scolarité.

Mine de rien, cette apparente bonne nouvelle, cache tout le décor de notre anglicisation : anglais obligatoire pour nos enfants dès le CP (7 ans), suivi d'un parcours scolaire balisé par l'anglais, pour finir devant une université ou une grande école où l'anglais est obligatoire, voire où les cours sont directement donnés en anglais.



Vient de paraître : « Français, mon beau français » !

Notre langue, le français, est parlée par 321 millions de personnes dans le monde dont 255 pour un usage quotidien, d’après l’Organisation internationale pour la Francophonie.  

Pour autant, on connaît l’usage de plus en plus répandu de l’anglais des États-Unis par les locuteurs français et on est en droit de se demander si à plus ou moins brève échéance, ce qu’il est d’usage d’appeler le « globiche » ne va pas finir par rendre le français méconnaissable.  

 



La sénatrice Christine Herzog et l'absence de français dans l'affichage !

Mme Christine Herzog, Maire de Hertzing de 2008 à 2018, conseillère départementale de la Moselle (élue dans le canton de Sarrebourg) depuis 2015 et sénatrice après les élections sénatoriales de 2017 interroge le ministre de l'intérieur sur l'usage de la langue française par les commerces de sa commune où la langue régionale est largement parlée.

Elle souhaite savoir si le maire peut contraindre des commerçants et artisans à exposer en français leur communication écrite d'affichage afin d'assurer une bonne compréhension de tous, ou si l'usage du français ne peut être imposé en vertu d'un droit ou d'une liberté fondamentale.



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