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  • À Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice !

    De : Régis Ravat, Président de l'Afrav

    Objet : Pourquoi les procureurs de la République ne veulent pas faire appliquer et faire respecter de la loi Toubon ?

    Destinataire : M. Éric Dupond-Moretti, minstre de la Justice, 13 place Vendôme, 75042 PARIS Cedex 01


  • Série de vidéos sur la langue française et la géolinguistique !

    Dans ces vidéos, Charles-Xavier Durand, Universitaire, ancien directeur de l'Institut de la Francophonie pour l'informatique de Hanoï, professeur d'université et écrivain, nous explique que si l'anglais nous submerge aujourd'hui, cela n'est pas dû au hasard ni à la valeur intrinsèque de la langue, mais bien à une volonté politique, celle des Anglo-Saxons d'imposer partout leur langue.


  • Écrire à l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle (Arcom), 1er trimestre 2024

    Il y a trop d'anglicismes à la télévision. Pourtant, la charte de France Télévisions stipule en son article 39 :

    « Le personnel intervenant à l'antenne est tenu à un usage correct de la langue française, conformément aux dispositions de la loi no 94-665 du 4 août 1994. Il s'abstient, à ce titre, d'utiliser des termes étrangers lorsqu'il possède un équivalent en français. »

    Protestons contre l'anglicisation ! Pour cela, écrivons régulièrement à  l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom)), dès que nous surprenons un journaliste, un présentateur, un animateur d'émission, etc. en flagrant délit d'anglomanie.



Notre sélection

À Mme Fabienne Buccio, préfète de la Région Auvergne-Rhône-Alpes

De : Marcel Girardin, membre du Haut conseil international pour la langue française et la Francophonie et membre du collectif Osez le français

Objet : Le Dauphiné-Libéré, relais actif de l'anglicisation de notre vie quotidienne.

Destinataire : Mme Fabienne Buccio, préfète de la Région Auvergne-Rhône-Alpes

La langue d’Emma, la langue française évincée de chez elle !

Hommage à la langue de ma défunte mère, à la langue de cette race de paysans qui avaient toujours porté très haut ces belles valeurs morales balayées aujourd’hui par la vague d’un « numérique » dévastateur.

par Philippe Carron

Je revois encore les lettres qu’elle écrivait dans son jeune temps, dans un style d’une sobriété et d’une limpidité étonnantes, dans cette langue française désormais rejetée de partout comme une « lingua non grata » par l’anglomanie délirante de ses propres locuteurs … et qui est sur le point de la rejoindre six pieds sous terre. 


Tableau d'honneur (année 2024)

Bravo à Philippe Corti qui, à Nîmes, pour participer à la lutte contre l'anglicisation de notre environnement linguistique, a collé un autocollant « Non à l'anglais partout ! », sur une publicité de l'entreprise Sonimen, une publicité au slogan en anglais «UNIDAYS » non traduit en français.

Déposez vos photos sur : #jecollecontreletoutanglais

 

Et si on parlait des anglicismes ?

Voici un article très intéressant traitant du problème des anglicismes. Faut-il les prendre tels quels, les traduire, leur trouver un équivalent français, les franciser ? 

À l'Afrav, comme vous le savez, nous faisons la guerre aux anglicismes, mais nous ne sommes pas pour autant des ayatollahs de la langue, notre seul objectif est de vouloir conserver la cohérence et la clarté de notre langue tant dans sa graphie, ses formes syntaxiques, que dans la prononciation des lettres de son alphabet. 


La Francophonie

  • Nouvelle-Calédonie : Échos francophones des Mers du Sud n°105, par l'Alliance Champlain !

    Ce bulletin est réalisé peu avant le lancement de la semaine de la langue française et de la francophonie, prévue chaque année pendant la 3e semaine du mois de mars, c’est-à-dire pour 2024 du 16 au 23 mars.  

    Éditorial de Daniel Miroux, Président de l'Alliance Champlain


  • L'Asulf, le Québec défend sa langue !

    Le journal Le Devoir bouclait une série de réflexions sur « les défis de demain » par un texte signé Brian Miles et intitulé « Pour l’amour du français » (6-7 janvier 2024, p. B 8). L’éditorialiste écrit : « […] la langue française, la culture […] naviguent dans les eaux troubles de l’insécurité. […] C’est une fatalité inéluctable sur un continent à majorité anglophone… ».

    L’éditorialiste fait l’impasse sur deux ou trois problèmes. 

    Par Gaston Bernier




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