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Appel pour la langue française et la Francophonie !

18 associations de défense de la langue française et du plurilinguisme ont lancé le 18 juin 2020, un vibrant appel à la Résistance linguistique face à la politique du tout-anglais que les mondialistes de tout bord veulent mettre en place partout.

Qu'on se le dise, aujourd'hui, l'anglais, ou plutôt l'anglo-américain, sert à détruire les nations pour tenter de les globaliser en un seul paquet, un paquet qui sera ensuite géré par une gouvernance mondiale de type GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft). L'anglo-américain, le globiche, est ainsi devenu la langue de la globalisation, la langue de l'oligarchie qui veut gouverner le monde, la langue du compactage humain, celle qui a pour but de détruire le citoyen pour qu'il ne soit plus qu'un simple consommateur, une langue qui n'est plus internationale puisqu'elle tend à tuer les nations, une langue dont il faut combattre l'impérialisme et l'hégémonie jusqu'au dernier souffle de notre énergie.

La politique du tout-anglais est une guerre idéologique qui est menée contre la France.

Le français était la langue de la diplomatie et des échanges en Europe depuis des siècles, mais aussi le vecteur des idées de la Révolution Française, d'une civilisation nouvelle, humaniste et porteuse de progrès social.

Ceux qui imposent l'anglais à sa place sont les groupes financiers, acteurs du grand retour en arrière : privatisations des richesses du pays contre les nationalisations, casse de la culture comme Bolloré qui supprime les guignols sur Canal + (trop d'impertinences) pour mettre un pseudo comique yanqui à la place, Macron qui casse notre système social développé (Sécu, retraites, etc.), système dont l'équivalent n'existe même pas dans les pays anglo-saxons.

Pour empêcher la casse culturelle de notre pays et de son histoire, mais aussi de son économie, il faut un sursaut des citoyens.

Côté culture,il faut faire comme au Québec, franciser les noms des entreprises (La France sera plus visible dans le monde), des enseignes (franciser ces noms imbéciles comme Drive, etc.), les panneaux routiers (ARRÊT et non STOP - pour le symbolique du combat), etc.

Il y va de l'avenir de la France et de ses enfants, ainsi que de notre République que de lutter contre les groupes financiers qui veulent imposer l'anglais partout.

Il faut profiter du Brexit pour remettre la langue française à sa place comme langue principale d'échange au sein de l'UE.

En résumé, il faut cesser d'être les idiots utiles de l'anglicsation-américanisation de notre société, une anglicsation-américanisation qui n'est en fait que le prélude à notre mort annoncée en tant que peuple libre et souverain.

Il y a 26 ans, la loi Toubon faisait son apparition. Son but était de donner aux Français le droit au français, c'est-à-dire le droit d’être informés en français partout en France dans un environnement francophone.

Malheureusement, un bon nombre de bobos de gauche se sont alors moqués de cette loi, et l'ont même jugée liberticide au prétexte que chacun est libre d'employer les mots qu'il veut, comme si les anglicismes qui nous tombent dessus étaient le produit du peuple libre de la France profonde, alors que chacun sait que ces mots nous sont jetés en pâture par la force des multinationales anglo-américaines et les GAFAM qui ont bien compris l’intérêt de nous angliciser le plus possible pour que nous épousions avec leur langue, leurs us et coutumes et que nous devenions ainsi d’insatiables demandeurs de leurs produits de consommation.

La loi Toubon, c’était, entre autres choses, le fait de mettre « Fabriqué en France » sur un produit fabriqué en France - quoi de plus naturel en somme ! - et non « Made in France ». Mais voilà, Montebourg est arrivé, un bobo de gauche s’il en est, qui, sans se soucier le moins du monde de la loi Toubon, a fait une publicité nationale pour le « Made in France », et tant pis pour notre langue et pour la loi Toubon, il leur a roulé dessus sans même s’en apercevoir.

Aujourd’hui, apparemment, les chauffards sont nombreux à rouler sur notre langue et sur la loi Toubon, car les « Made in », entre autres anglicismes, fleurissent partout, c’est comme une « Mode en France », c’est à qui écrasera le plus.

Quelle désinvolture envers notre langue, à se demander si nous ne tenons pas ça de nos aïeux qui ne parlaient pour la plupart que dans une langue dite régionale, mais qui ont fini par la perdre, à force de céder un peu plus chaque jour davantage sur la langue du plus fort du moment.

Gardarem lo francés !

Rejoignez la Résistance !

Régis Ravat, président de l'Afrav

 

Haut Conseil francophone international de la Langue française et de la Francophonie

Les puissances privées et les pouvoirs publics qui portent, en France et partout, un mondialisme hégémonique, destructeur des cultures des peuples, œuvrent à l’emploi universel d’un anglo-américain basique, et à un grand remplacement de nos langues régionales et nationales d’Europe et d’Amérique du Nord.

L’enjeu est civilisationnel. "France contre les robots". Nos associations l’ont longtemps clamé. 18 d’entre elles ont donc décidé de nous rassembler afin de donner corps et âme à la résistance au tout-anglais en cette année d’anniversaires : le 80e de l’Appel de juin 1940, le 75e du Conseil National de la Résistance (CNR), le 50e de la création - le 20 mars 1970 à Niamey - de l’ancêtre de l’Organisation internationale de la Francophonie (O.I.F.), et le 2e de la présentation, par notre Président sous la Coupole, de sa politique pour le français, et de la création de l’Institut de la Francophonie à Villers-Cotterêts.

Nous, citoyens de tous horizons et familles spirituelles et politiques de la France, refusant la soumission, nous sommes, à l’appel des associations, constitués en réseau de société civile, en un Haut Conseil à installer le 14 juillet 2020.

Fort des capacités d’influence de tous, le Haut Conseil devra :

  • exiger le respect de la Constitution (art. 2, et titre XIV sur la Communauté francophone) et le renforcement sensible de la loi Toubon-Tasca avec des sanctions dissuasives à l’encontre des "collabos de la pub et du fric" (Michel Serres) qui veulent une langue impériale porteuse de pensée, de politique et d’économie uniques (Claude Hagège) ;
  • convaincre les politiciens, médias, firmes, de cesser d’y contribuer ;
  • animer un débat national constant sur la politique linguistique de l’État ;
  • permettre au peuple de France, et aux communautés francophones, de reprendre langue pour pouvoir à nouveau parler humanisme au monde.

Nous, citoyens inscrits dans la liste jointe des membres du Haut Conseil français, invitons tous ceux dont la "patrie est la langue française" à nous rejoindre en résistance, et invitons les Conseils des pays et communautés partiellement de langue maternelle française à constituer avec nous le Haut Conseil francophone international de la Langue française et de la Francophonie !

Signé en leur nom par Albert Salon, docteur d'État ès lettres, ancien ambassadeur, président d’honneur d’Avenir de la Langue française (ALF).

Albert Camus : Ma Patrie c'est la langue française

 

Représentants des associations porteuses du projet, et représentants d’autres associations :

Alliance Champlain (Nouméa - Nouvelle-Calédonie) 

Association des Écrivains Combattants (AEC)

  • Alfred Gilder, SG, ancien chef de mission du Contrôle général au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, nombreux ouvrages, "Et si l’on parlait français ?" (1993)

Association francophone d’Amitié et de Liaison (AFAL) :

  • Deux représentants à désigner

Association Francophonie Avenir (AFRAV) :

Avenir de la Langue française (ALF) :

  • Albert Salon, fondateur et président d’honneur, docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur, essayiste, auteur d’ "Une volonté française" (Glyphe, 2012), membre de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge, (100)*, albert.salon0638@orange.fr
  • Chrystel Guène, correctrice d’édition, avenirlf@laposte.net

Carrefour des Acteurs sociaux (CAS)

Cercle d’Études et de Réflexion sur le Monde francophone (CERMF)

  • Ilyès Zouari, fondateur et président, essayiste, ouvrages sur la francophonie mondiale, membre de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rougezouari.ilyes.acc@gmail.com

Cercle littéraire des Écrivains cheminots (CLEC)

Conseil international de la Langue française (CILF)

  • Hubert Joly, SG, ancien administrateur de la France d’Outre-mer, diplomate, terminologue, créateur de dictionnaires spécialisés, cilf@cilf.org

Co.u.r.r.i.el

Défense de la Langue française (DLF) :

DLF-Savoie

Droit de Comprendre (DDC)

  • Marc Favre d’Échallens, président, cadre d’entreprise, président de DLF-Île de France, SG de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rougemfavredechallens@aol.com

Institut Culture, Économie, Géopolitique (ICEG)

  • Yves Montenay, président, entrepreneur, professeur à l’ESCP ("Sup-de-Co"), vice-président d’Avenir de la Langue française (ALF), créateur et éditeur de la revue "Regards sur le monde musulman", (100)*, yves.montenay@gmail.com

Forum pour la France (FPF)

Francophonie Force Oblige (FFO)

  • Alain Ripaux, président, essayiste (100)*

Paris-Québec

  • Bernard Émont, président, ex-haut fonctionnaire européen, directeur du Centre universitaire d’Études sur le Québec et la Francophonie d’Amérique du nord (CEQFAN)

République exemplaire

  • Michel Le Net, administrateur, ingénieur général honoraire des Ponts et chaussées, président honoraire du Cercle d’éthique des affaires, essayiste

Carte de la Francophonie en 2060

Personnalités représentatives du secteur des politiques linguistiques et culturelles,

Hauts fonctionnaires engagés personnellement pour le français et la diversité linguistique et culturelle :

  • Pascal-Raphaël Ambrogi, inspecteur général de l’Éducation nationale
  • Patrice Cahart, inspecteur général des Finances, ancien directeur de la Monnaie à Paris, ancien président de la commission de terminologie du ministère des Finances
  • Guy Dalens, ancien chef de service à la direction de la Concurrence au ministère des Finances, membre d’ALF
  • Serge Duhamel, ex-Inspecteur général de l’Éducation nationale, ancien trésorier d’ALF
  • Jacques Myard, diplomate, maire de Maisons-Laffitte, membre honoraire du Parlement, président de l’Académie du gaullisme et du Cercle Nation et République
  • Christian Philip, professeur de droit, recteur honoraire, président de la Maison de la Francophonie de Lyon

Avocats et juristes familiers des aspects juridiques des politiques linguistiques

  • Jean-Claude Amboise, docteur en droit, avocat au barreau de Paris, spécialiste du droit de la langue française, attitré d’ALF, DLF, DDC...
  • Olivier Gohin, professeur de droit public, constitutionnaliste de l’université Paris 2, Panthéon-Assas
  • Jacques Legendre, ancien ministre, sénateur honoraire, ayant joué un rôle important dans l’introduction en 2008 de la Communauté francophone dans la Constitution française
  • Étienne Tarride, avocat, membre du Forum pour la France 

Syndicalistes qui militent pour l’emploi du français dans le monde du travail

La Francophonie un potentiel de 800 millions de locuteurs d'ici 2050

Créateurs, producteurs, diffuseurs et ciseleurs militants de la langue française :

Poètes

  • Daniel Ancelet, vice-président de l’Académie de la Poésie française (APF), lauréat de l’Académie française, président du Prix Renaissance de poésie
  • Rina Dupriet, poète, essayiste, maire adjoint du Buc, présidente de l’association internationale des CCES, présidente du Cercle Soroptimiste qu’elle représente à l’UNESCO
  • Thierry Sajat, éditeur, président de l’Académie de la poésie française

Écrivains, romanciers, essayistes, éditeurs

  • Alain Borer : universitaire, écrivain, essayiste, rimbaldien et auteur de "De quel amour blessée - Réflexions sur la langue française" (Gallimard 2014), (100)*
  • Gérard Cartier, ancien ingénieur, auteur et poète, site "Au Monomotapa" (100)*
  • Jean-Michel Delacomptée, écrivain, plusieurs prix littéraires, dont de l’Académie française
  • Bernard Lecherbonnier, essayiste, auteur de "Pourquoi veulent-ils tuer le français ?"
  • Michel Mourlet, écrivain, critique de littérature et de cinéma, responsable d’émission radiophonique sur le français
  • Jean Roux, expert-comptable, essayiste

Linguistes, terminologues, traducteurs et interprètes

  • Jean-Paul Cossart, entrepreneur, terminologue, vice-président d’ALF
  • Alfred Gilder, écrivain, essayiste, nombreux ouvrages sur le français, "Dictionnaire franglais-français", "Alerte francophone"
  • Denis Griesmar, traducteur, ancien vice-président de la Société française des Traducteurs (SFT)
  • François Grin, professeur de traductologie à l’université de Genève
  • Claude Hagège, professeur au Collège de France, "Halte à la mort des langues", "Combat pour le français", "Contre la pensée unique"

Professeurs de français

  • Suzanne Coirint-Loff, ancien professeur de français à l’université de Lisbonne, résidente au Portugal,
  • Bruno Dewaele, agrégé de l’université, champion du monde d’orthographe, tenant une rubrique régulière de langue française à La Voix du Nord, et revue Lire
  • Bernard Leconte, professeur agrégé de lettres, écrivain, chroniqueur du "bon français" dans divers médias, pamphlétaire, humoriste
  • Philippe Prudhomme, professeur de lettres et d’histoire, président-fondateur de l’association Les amis de Bougainville à Papeete, Tahiti (100)* 

Monde de la musique, Chanteurs, musiciens

  • Alain Fantapié, ex-Haut Comité de la Langue française, président de l’Académie Charles Cros

logos de l'ACCT, de l'AIF et de l'OIF

Militants et sympathisants du français et de la Francophonie dans divers secteurs d’activité :

Collège de France

  • Claude Hagège (voir ci-dessus à la rubrique "linguistes, terminologues, traducteurs")

Corps médical

  • Roger Caporal, médecin endocrinologue, consultant des Hôpitaux de Paris, écrivain

Chercheurs scientifiques attachés à l’emploi du français dans leur discipline

  • Nicolas Bacaër, chercheur à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
  • Christian Darlot, chercheur ENST, militant ALF, auteur d’une étude-plaidoyer sur le français dans les sciences
  • Charles Durand, informaticien, ancien directeur - pour l’AUPELF-UREF - de l’Institut international d’Informatique (IFI de Hanoï), essayiste militant ALF pour le français scientifique
  • Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS (100)*, labos d’astrophysique de Marseille et Observatoire de Paris
  • Laurent Lafforgue, mathématicien médaillé Fields

Universitaires et chercheurs d’autres disciplines

  • Jean-Louis Chédin : universitaire, professeur de philosophie, administrateur d’Avenir de la Langue française (ALF)
  • Francis Gandon, docteur en sociologie, docteur d'État en sciences du langage, diplômé d'études politiques, professeur honoraire à l'Université de Caen, ancien enseignant aux universités de Tananarive et Tuléar
  • Christophe Réveillard, universitaire
  • Ralph Stehly, professeur émérite d’histoire des religions et islamologie, de l’université de Strasbourg (100)* 
  • Françoise Tétu de Labsade, ancien professeur de civilisation et de littérature québécoise à l’Université Laval du Québec

Chefs d’entreprise, économistes, consultants

  • Patrice Bersac, cadre supérieur d’entreprise
  • Alain Diter, docteur en génétique, chef d'entreprises en Polynésie française, vice-président de l’association Les amis de Bougainville, à Papeete
  • Gilbert Puzy de Lafayette, consultant, descendant du marquis de Lafayette de la guerre d’indépendance des États-Unis
  • Marc Rousset, économiste
  • Carole Sorreau, cadre supérieure d’une union de coopératives agricoles, conseillère au commerce extérieur, membre actif du Cercle des femmes du Grand Paris, romancière et conférencière, 

Militaires officiers supérieurs et généraux

  • Alain Corvez, colonel (2S), consultant en stratégie, membre du Forum pour la France
  • Amiral (2S) Michel Debray, ancien pacha du porte-avions Foch
  • Claude Gaucherand, amiral (2S), écrivain
  • Jacques Hogard, colonel (2S)
  • Claude du Trémolet, général (2S), président de l’Amicale de l’École militaire de Haute-montagne, qu’il a dirigée

Journalistes

  • Bernard Cassen, ancien directeur général du Monde diplomatique, président d’honneur d’Attac, et secrétaire général de l’association Mémoire des luttes
  • Michel Feltin-Palas, l’Express, spécialiste du français et des langues régionales, auteur de la lettre d’information "Sur le bout des langues", (100)*
  • Arnaud Galy, rédacteur en chef d’Agora francophone internationale (plateforme internet) et de l’Année francophone internationale (AFI, revue papier)
  • Loïc Hervouet, administrateur de l’Année francophone internationale, vice-président de l’ONG Actions médias francophones, Africamédiaswww.actionsmediasfrancophones.fr
  • Vincent Hervouët, ancien responsable info de LCI, chroniqueur sur Europe 1
  • Michel Mourlet, écrivain, critique de littérature et de cinéma, journaliste de radio

Professions diverses

  • Jean-Claude Amboise (avocat (cf. partie B), chargé de cours dans le domaine du droit du spectacle, conférencier sur la chanson française à l’étranger
  • Marc-Antoine Renard-Bécue, sitemestre d’associations pour le français
  • Gérard Charpentier, docteur en sociologie, psychanalyste spécialisé dans les processus d’intégration interculturelle, spécialiste des peuples francophones, www.gerardcharpentier.com
  • Sophie Chevreuse, ancienne trésorière, directrice administrative et financière, et DRH, de l’Union latine créée à l’initiative de Philippe Rossillon, puis trésorière d’ALF depuis 2015
  • Lionel Cudennec, ancien du ministère de la Jeunesse et des Sports, fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, spécialiste de droit public, militant pour le français
  • Laure Fouré, haut fonctionnaire des Finances, conseillère juridique des associations pour le français
  • Mohamed Larbi Haouat, docteur d’État, président d’ASILEC, vice-président de l’AFAL (et son représentant à l’UNESCO) 
  • Laura Françoise Lebeau, consultante, chargée de mission Francophonie
  • Frédéric Prat, ingénieur, président de Lire-écrire
  • Gilbert Puzy de Lafayette
  • Michèle Vlahos, Française résidant aux États-Unis où elle fonda la "Massachusetts Lafayette Society" de Boston

Étudiants

  • Gaspard Defferrière, en 2e année à l’ESSEC

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* Les noms suivis de : (100)* sont ceux de signataires de l’Appel des Cent adressé le 16 juin 2019 au Président de la République française, pour une politique du français et de la Francophonie.

Oui à la Francophonie, oui je parle français

 

 

 




Publié par Régis RAVAT le 19 juin 2020

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Orthographe, corrections : contact.sy@aliceadsl.fr

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