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Tout, sauf Macron, s'il vous plaît !

Tristesse, Macron, l'anglo-mondialisé, le fruit de l'oligarchie financière, celui qui parle anglais aux Allemands, qui pense que la Guyane est une île, qui crache sur la France en Algérie, qui dit qu'il n'y a pas de culture française, risque d'être élu Président de la République !

Et pendant ce temps, ils ont tué De Gaulle, qui, sous les traits d'Asselineau, était venu nous parler de la France Libre.

 

Macron et son parlé anglo-américanisé !

Le 3 juillet 2014, Emmanuel Macron (Secrétaire de la Présidence de la République, conseiller de François Hollande et pas encore ministre de l'économie), présentait la «  vision économique du gouvernement » devant un parterre de patrons.

On se demande si ses auditeurs ont compris quelque chose à son sabir et si ce charabia est devenu langage officiel de la République.

Jugez plutôt :

« Nous sommes une société mature, mais averse au risque où l’entrepreneuriat est insuffisamment considéré. »

Dans un article récent, l'angliciste Bernard Gensane commente :

« Je ne sais pas trop ce qu’est une société "mature", mais je devine, dit-il. En revanche, l’expression « une société averse au risque » me scandalise.

Voilà un exécrable exemple d’anglais en français.

L’expression "averse à" n’existe pas dans la langue française. En revanche "to be averse to doing", signifie "répugner à faire".

"I am not averse to an occasional drink", signifie « je n'ai rien contre boire un petit coup de temps en temps ».

Et que dire de « l’entrepreneuriat est insuffisamment considéré », qui est la traduction littérale de l’anglais "entrepreneurship is insufficiently considered" ?

On peut conclure à la place de Bernard Gensane et dire que monsieur Macron, tout ministre de la République française qu'il est, s'exprime et pense en sabir anglo-américain.

C'était bien la peine de sortir de l'École nationale d'administration (ENA) pour arriver à cette déchéance !

Il est vrai que Emmanuel Macron, membre de la promotion 2012 des "Young Leaders" du groupe de pression états-unien la French-American Foundation *, était aussi banquier d'affaires chez Rothschild & Cie, où il a eu le temps d'apprendre l'anglais de Wall Street et l'idéologie qui l'accompagne !

On pourrait penser que ces observations relèvent de l'obsession de quelques puristes contre le snobisme imbécile du franglais. Mais des associations, des enseignants, des journalistes, des universitaires réagissent, et pour une raison plus profonde.

Claude Hagège contre la pensée et la alngue uniquesNotamment Claude Hagège, un éminent spécialiste du langage (universitaire, professeur au Collège de France, médaille d'or du CNRS), qui considère que l'invasion de l'anglais dans notre langue est une forme de colonisation. Claude Hagège a consacré récemment à ce sujet un livre très argumenté et très critique intitulé « Contre la pensée unique », dans lequel il pourfend l'anglais, comme vecteur de pensée. « L'anglais, dont la diffusion mondiale véhicule l'idéologie néolibérale, et dont l'ensemble du monde est à la fois l'auteur et la victime », dit Claude Hagège.

En effet, quand on pense dans une langue qui n'est pas la sienne, on pense mal et quand tout est dit et écrit en sabir anglo-américain, on pense en sabir anglo-américain, dirait Bernard Gensane. L'enjeu n'est donc pas de sauvegarder la pureté du français académique, mais de défendre le droit de penser dans notre langue, et de penser comme il nous convient !

Gandhi, voyant que le pouvoir colonial britannique en Inde avait compris la force des représentations mentales (bien avant les autorités américaines), dénonçait l'école secondaire et supérieure anglaise comme une institution qui ne dressait que des êtres dociles : « Donner à des millions d'hommes la connaissance de l'anglais c'est comme les réduire en esclavage ». Ces mots furent prononcés en 1908 dans le cadre d'une campagne pour que le hindi devienne langue officielle de l'Inde.

Un siècle plus tard, ils conservent tout leur sens.

* Emmanuel Macron n'est pas seul, Najat Vallaud-Belkacem, Fleur Pelerin, Marisol Touraine, François Hollande (promotion 1996), Anne Lauvergeon, Aquilino Morelle, Pierre Moscovici, et des dizaines d'autres ont été formatés par les Young Leaders. La mission de ce groupe de pression est de développer « des liens durables entre des jeunes professionnels français et américains talentueux et pressentis pour occuper des postes clefs dans l’un ou l’autre pays » (on ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec la « cinquième colonne ») ! Liste complète en cliquant sur ce  >>> Lien.

De Jean-Pierre Gilbert

Source : gilblog.fr, septembre 2014

 

Le discours en anglais de Macron à Berlin : trahison des élites !

Mardi 10 janvier 2017, Emmanuel Macron, candidat à la Présidentielle de 2017, a donné une conférence en anglais à Berlin.

Il s'est exprimé en anglais montrant ainsi à ceux qui, en Allemagne, auraient encore envie d'apprendre le français, qu'il n'est plus nécessaire de s'investir dans cette langue puisque les Français s'expriment désormais en anglais à l'étranger.

Mine de rien, Emmanuel Macron nous a fait là une démonstration parfaite de ce qu'on appelle la prophétie autoréalisatrice, c'est-à-dire qu'à force de dire qu'il n'y a pas de vie sans anglais, que la langue française n'est pas internationale, on crée les conditions pour que cette réalité qui au départ n'était pas vraie, le devienne.

En effet, qui voudra désormais apprendre le français à l'université Humboldt de Berlin, alors qu'un haut fonctionnaire français a préféré s'y exprimer en anglais ?

Ainsi, le chouchou des médias français, par son anglomanie ostentatoire, s'est-il dévoilé au grand jour : il est bien un agent de l'oligarchie anglo-américanisée mondialiste, une oligarchie qui veut mettre son grapin sur le monde pour lui imposer une langue, une loi, une doctrine.

Le discours en anglais de Macron à Berlin : trahison des élites !

Tout un symbole de ce qu’est vraiment ce technocrate arriviste de la finance qui n’a pas le sens du peuple.

Marine Le Pen s’est indignée à juste titre du discours de Macron en anglais à Berlin. Tout un symbole de ce qu’est vraiment ce technocrate arriviste de la finance qui n’a pas le sens du peuple, qui n’a pas le sens de l’identité de la France, qui ne respecte pas sa langue. Macron n’a peut-être pas une tête de moule, comme il le déclarait, il y a une dizaine de jours, mais il est bien sorti de ce moule qu’on appelle l’ENA. Cette Ecole nationale d’Administration qui met aujourd’hui toute son énergie à fabriquer de jolis clones parfaitement compatibles avec la mondialisation. Des Macron en série.Rien n’est d’ailleurs laissé au hasard dans cette entreprise de démolition de la France.

L’attitude à Berlin de Macron, ancien élève de l’ENA, explique bien le scandale en cours actuellement dans cette école. Je veux parler de l’arrêté du 16 avril 2014, pris par le ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique. Cet arrêté aura pour effet que l’anglais sera, à partir de 2018, la seule et unique langue étrangère à maîtriser pour les candidats souhaitant entrer à l’ENA, alors que jusqu’à ce jour, en 2017, l’ENA pratique encore le multilinguisme. Il sera dorénavant inutile d’apprendre une autre langue que l’anglais pour entrer à l’ENA. IL en résultera une incitation très forte, à l’heure du Brexit, à poursuivre dans la voie de l’unilinguisme anglais et une démotivation pour les élèves d’apprendre dans l’enseignement secondaire une autre langue que l’anglais puisque les autres langues ne serviront à rien !

Emmanuel Macron et la langue française

Lors de la journée de rencontre entre l’ENA et l’université allemande DUV Speyer, le 10 juin 2015 dans les locaux de l’ENA à Strasbourg, le discours introductif de la directrice de l’ENA, madame Nathalie Loiseau, devant 195 élèves allemands, français et étrangers, a été tenu en anglais. L’effet fut d’autant plus calamiteux pour le français, l’allemand et les autres langues nationales européennes, que le thème de la journée de la rencontre était : « Comment aller au-delà de nos spécificités nationales pour augmenter la coopération » ? Le discours introductif de la directrice tenu en anglais suggérait donc de renier la langue française ainsi que nos spécificités et nos identités linguistiques européennes !

Il est bien connu également que les hauts fonctionnaires français trahissent trop souvent la langue française à Bruxelles. Ce n’est pas pour rien que Pierre Moscovici a obtenu le Prix 2016 de la Carpette anglaise 1… A quand une politique linguistique digne de ce nom d’un gouvernement français pour défendre et développer l’usage de la langue française en Europe ?

Macron aurait donc dû s’exprimer en français à Berlin en utilisant parfois quelques mots d’allemand et en ayant recours à la seule langue internationale qui est, comme l’a fait très justement remarquer Umberto Ecco, la traduction.

IL ne nous reste plus à espérer que, suite aux élections présidentielles de 2017, Macron ne soit pas élu, que le nouveau gouvernement français abrogera en 2017 l’arrêté scandaleux sur l’anglais, langue unique au concours de l’ENA, et que Macron tout comme l’ENA se verront attribués le Prix 2017 de la Carpette anglaise !

Notes:

  1. Le Prix de la Carpette anglaise est attribué chaque année par un comité d’intellectuels français, présidé par Philippe de Saint Robert, pour marquer d’infamie et livrer à la honte publique les personnalités qui trahissent la langue française et s’expriment uniquement en anglo-américain.
Source :  marcrousset.over-blog.com, le dimanche 15 janvier 2017



Macron et sa connaissance de la France !

En déplacement sur l'île de La Réunion, Emmanuel Macron, candidat à la présidence de la République, a réagi à la crise qui paralyse la Guyane depuis plusieurs jours, mais, parlant de la Guyane, il a qualifié ce département d'île :

« La situation en Guyane, depuis plusieurs jours, est grave. Mon premier mot est celui d’un appel au calme parce que bloquer les pistes d’aéroport, bloquer les décollages, parfois bloquer le fonctionnement de l’île, ne peut être une réponse apportée à la situation. »

Voilà donc quelqu'un qui veut être Président de la République française et qui s'intéresse tellement à la France qu'il n'est même pas capable de savoir que la Guyane est un département français situé en Amérique du Sud, collé entre le Brésil et le Suriname.

Je serais curieux de savoir où il place l'îlot français de Clipperton !

Par contre, ce monsieur parle anglais couramment, et connaît certainement mieux de ce fait, le monde anglophone que le monde francophone, preuve, s'il en fallait une, qu'il ne travaille pas pour notre camp.



Macron et sa connaissance de l'histoire de France !

Macron a cru devoir préciser que l'arrivée des Français en Algérie et l'occupation qui a suivi était un génocide. Il plonge à fond dans le cliché ségolénesque de la repentance. C'est une honte. Les Français ont fait l'Algérie, et si repentance il doit y avoir, elle n'est pas du côté français.

En effet, on l’oublie souvent, mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830. Jusqu’au VIIIe siècle, les populations qui y vivaient étaient d’origine phénicienne, berbère, romaine et de religion majoritairement chrétienne. Ce sont les Arabes, peuple nomade venant du Moyen-Orient, qui ont envahi toute l’Afrique du Nord et converti de force toutes ces populations. Ainsi, et après quelques siècles de domination arabo-islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico-romaine.

Plus tard, au XVIe siècle, en profitant du chaos répandu par les Espagnols, mais aussi en soufflant habilement sur les nombreuses divisions existant entre les différentes tribus de la région, les Ottomans en prirent le contrôle avec Alger pour capitale.

C’est alors que se développa, pendant près de 300 ans, la piraterie barbaresque, arraisonnant tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants.

Ainsi, dans l’Alger des corsaires du XVIe siècle, il y avait plus de 30 000 esclaves enchaînés.

Plusieurs tentatives de destruction de ces bases furent alors entreprises. D’abord par Charles Quint, à l’action duquel succédèrent les bombardements anglais, puis ceux des Néerlandais et même ceux de la jeune nation américaine également victime de ces perfidies…

Toutefois, seul le débarquement des troupes françaises en 1830 mit fin définitivement à trois siècles d’atrocités.

Lire la suite de l’article sur lafautearousseau.hautetfort.com

Macron et l'Algérie : la honte

Voici, sur le sujet, une lettre très pertinente du Professeur Savelli, envoyée, il y a quelque temps déjà, au président algérien Abdelaziz Bouteflika :

LETTRE à M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA

Président de la République algérienne.

Monsieur le Président,

En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. M. Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles !

C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIIIe siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint-Augustin). Ces régions agricoles étaient prospères.

Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force, « béçif » (par l’épée), toutes ces populations. « Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7). Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères ; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20). Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico-romano-berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadram , Histoire des Berbères,T I, p.36-37, 40, 45-46. 1382). 

Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme, sans rien construire en contre partie.

Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l’Alger des corsaires du XVIe siècle, il y avait plus de 30 000 esclaves enchaînés. D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain…. Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12 000 têtes pendant son règne. 

Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités.

Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées.

Pourquoi la France en Algérie

Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5 000 Turcs, 100 000 Koulouglis, 350 000 Arabes et 400000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains. Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.

Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous-développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2 000 ans. La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis ! 

Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début, puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de moins d’un million en 1830 en Algérie, à dix millions en 1962.

Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » - j’accepte).

Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, - il manquait du temps pour passer du moyen âge au XXe siècle - mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste….. Il n’existait rien avant 1830 ! Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, ont été capitaux pour l’État naissant de l’Algérie.

Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres terres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle.

Macron et la repentance

Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un Etat nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide. Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation.

Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés là 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse. Était-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ?

Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75 000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A .S., il y a eu plus de 200 000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique, beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie. 

C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits ! 

Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce. L’un d’eux, Lucien Baudens, créa la première École de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones. Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées - ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires.

La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie.

Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ?

En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ?

Je présente mes respects au Président de la République, car j’honore cette fonction.

Source : oldgaffer.canalblog.com, le mercredi 15 février 2017
Possibilité d'apporter un commentaire à cet article, en allant sur : http://oldgaffer.canalblog.com/archives/2017/02/15/34943189.html

Pour visualiser la vidéo (non censurée) sur Rutube, merci de cliquez sur le lien ci-après : https://rutube.ru/video/abaea783427fbf958c15efcca6eadcd0/ 



Pour Macron, il n'y a pas de culture française !

Le 5 février 2017, devant son auditoire, Emmanuel Macron avait déjà suscité un tollé en déclarant à Lyon : « Il n’y a pas de culture française, il n’y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse ». Lors d'une réunion publique à Londres, le 21 février, Emmanuel Macron a continué ses explications de textes, et même enfoncé le clou : « L’art français, je ne l’ai jamais vu ».

Qu’a voulu dire le candidat ni-de-droite-ni-de-gauche d’« En marche ! » ? Que l’art, comme la culture française, s’est longtemps nourri d’artistes et d’écrivains venus des quatre coins de la planète mais qui se sont tous fondus dans le melting-pot de la scène culturelle et artistique ?

Après la polémique concernant la colonisation française en Algérie, la dialectique d’Emmanuel Macron – sans doute une marque de son passage par l’ENA – est peut-être un peu trop subtile pour certains internautes, qui ont fait part de leur indignation.

Nombreux sont ceux, de tendance souverainiste ou patriotique, qui y voient la preuve qu’Emmanuel Macron est le candidat du monde financier et de l’idéologie mondialiste.

D’autres internautes qualifient les déclarations d’Emmanuel Macron de provocations, voire d’insultes, et dénoncent un discours incohérent.

Source : egaliteetreconciliation.fr, le mercredi 22 février 2017



Sur la prétendue objectivité de nos journalistes !

- CNEWS a suspendu Audrey Pulvar de l'antenne pour avoir signé une pétition qui touche à son devoir de réserve et de neutralité, mais quand est-ce que CNEWS sera-t-elle interdite de diffusion par le CSA pour avoir transformé son nom à consonance francophone, iTÉLÉ,  en un nom anglo-américanophone, CNEWS ?  Y aurait-il une pétition pour que cesse l'anglo-américanisation de notre société ? Dois-je compter sur M. Macron, membre de la promotion 2012 des "Young Leaders", du groupe de pression étatsunien, la French-American Foundation, banquier d'affaires chez Rothschild & Cie et qui parle couramment l'anglais de Wall Street, pour nous sortir de l’anglomanie qui assaille notre pays ? Mme Laurence Rossignol, ministre de la Famille, pourrait-elle lancer une pétition en ce sens, une pétition pour sauver la Famille francophone - que pense-t-elle, au passage, du "Made For Sharing" de Paris-2024 ?-, et sauver ainsi notre droit de pouvoir vivre, travailler et penser, demain, dans un environnement francophone ?

- Le geste très amical de la journaliste, Ruth Elkrief, de BFMTV, à l’égard d’Emmanuel Macron, le soir de la réunin publique du 26 avril 2017, se passe de tout commentaire :

Ruth Elkrief et BFMTV pour Macron

 




Publié par Régis RAVAT le 25 avril 2017

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Orthographe, corrections : contact.sy@aliceadsl.fr

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