« Toute institution privée qui n’accorde pas une priorité absolue à la langue arabe est appelée à disparaître ». L’arabisation de l’Algérie serait donc une priorité, plus importante que le problème du logement, et le développement économique. Pour Le Figaro, l’enseignement privé représente une centaine d’établissements et 25 000 élèves dans le pays. À la faveur de la transition dans les années 90, certains parents avaient profité des écoles privées pour échapper à l’arabisation de l’éducation. D’où un succès de ces établissement dans une région berbérophone comme la Kabylie.
Selon Arezki Aït-Larbi, auteur de l’article, la mouvance islamiste conservatrice, politiquement influente pousse à restaurer une école « arabo-islamique authentique ». Voilà qui rouvre le douloureux dossier linguistique