Quand il s'agit des immigrés en situation irrégulière, la langue française prévaut sur l'anglais, mais quand il s'agit - ou s'agira - de multinationales, qu'en sera-t-il ?

En résumé, l'article dit que la loi Toubon a abrogé la loi de 1975 sur le français, mais pas l'Édit de Villers-Cotterêts qui faisait du français la langue obligatoire en justice. Donc si un immigré en situation irrégulière a dans son dossier des pièces en anglais et en arabe, par exemple, non traduites en français, elles seront considérées comme irrecevables.

AK